à l'époque des alpine, clarion, pio et D7 donc de l'aire analogique, la tienne en somme
c'est vrai que le matos et l’association de matos pouvaient avoir une coloration plaisante ou pas
aujourd'hui, avec l'aire du numérique, ce n'est plus la même, comme beaucoup de légende urbaine ont été mis à pied avec la technologie
on a des outils soft & hard qui peuvent nous permettre de le mesurer et de l'entendre/constater après
Un des avantages majeurs du traitement numérique du signal est la possibilité de le transmettre sans aucune distorsion. Dans la chaîne numérique, il n'y a de distorsion que lorsque le signal est modifié.
Avec une correction électronique il est possible d'obtenir une courbe de réponse plate à la place des +5.8 dB vers 90 Hz, et aussi d'étendre la réponse dans le grave à la valeur de votre choix. (Théoriquement à la valeur de votre choix, parce qu'en pratique l'écoute vous indiquera la limite à ne pas dépasser).
Rendre la réponse plate est tout bénéfice pour la tenue en puissance (jusque vers 40 Hz dans mon exemple, et pour le déplacement de la membrane du HP.
Si vous voulez étendre la réponse dans le grave, soyez conscient des limites sur la puissance de l'ampli, sur le déplacement de la membrane du HP, et sur le niveau sonore SPL qu'il sera possible d'avoir. Ce qui sera gagné d'un côté sera perdu de l'autre...
Dans mon cas le VISATON B200 est coupé à 48 dB/octave Linkiwtz-Riley à 130 Hz, je n'ai normalement pas besoin d'étendre la réponse dans le grave.
Mais je vais le faire tout de même pour avoir la réponse à 130 Hz avec moins de 2 dB d'atténuation, de façon à avoir une coupure aussi proche que possible du modèle théorique.
Je veux obtenir après correction, parce que c'est meilleur ainsi à l'écoute, une Fc à 66 Hz et un Qtc de 0.58 ...
perso, aucune ne m'a plût par son rendue (instal même en EMMA) oui c'est propre, agréable mais pas comme je veux, il manque cette neutralité que je cherche et l’aliante en pur piston fait son taf de vibreur